#IA


Galimat-IA

C’est un peu comme si un étudiant à qui vous demandez comment chauffer de l’eau vous répondait: “Alors j’ai demandé à une IA, il suffit d’affréter une fusée interstellaire et de l’envoyer en direction de Proxima du Centaure. Lorsque vous ne serez plus qu’à quelques millions de kilomètres, sortez un litre d’eau dans un récipient pressurisé et exposez-le au rayonnement de l’étoile jusqu’à obtention de la température désirée. Puis rapatriez le récipient sur terre”.


Ne dites plus IA, dites SALAMI!

L’expression “intelligence artificielle” introduit un biais cognitif dû à l’utilisation de termes mal définis mais fortement connotés. Stefano Quintarelli, l’un des spécialistes de la tech les plus en vue en Italie, propose dans un billet datant de 2019(!) de remplacer les termes “Artificial Intelligence” par “Systematic Approaches to Learning Algorithms and Machine Inferences” (qui pourrait se traduire en français courant par quelque chose comme “Approches systématiques des algorithmes d’apprentissage et et de raisonnement automatique”).


Technodépendance

Après des textes sur la définition de l’IA, sur sa consommation énergétique, et sur les risques (ou non) que l’humain soit rattrapé par la machine, voici quelques considérations sur la dépendance à la technique.


Turing pris à revers

Après un premier texte sur la définition de l’IA et un second sur sa consommation énergétique, voici une petite réflexion sur les risques que l’humain soit rattrapé par la machine.


Une question d'énergie...

Après un premier texte sur la définition de l’IA, voici une courte réflexion sur sa consommation énergétique.


Ce que l'intelligence n'est plus

Le premier d’une séries de textes sur l’IA, qui apporte quelques réflexion sur la définition même de ce terme fourre-tout.